• Micro lecture de l'arc de Dressrosa

    Micro lecture de l'arc de Dressrosa

     

    MICRO-LECTURE DE LA TRAGEDIE DE DRESSROSA

     

    Projet de lecture : En quoi le flaschback du massacre de Dressrosa se construit-il selon une logique théâtrale ; celle de la tragédie antique ?

     

    1. Le massacre de Dressrosa : Une tragédie classique ?

     

    La tragédie de Dressrosa est racontée sous forme d'analepse/flashback. La métaphore théâtrale occupe tout le chapitre puisqu'elle montre une tragédie en cours de construction. Le scénariste et le metteur en scène n'est autre que le marionnettiste Doflamingo. Il s'agit d'une pièce de théâtre qui est jouée à mesure qu'elle s'écrit. Les fils demeurent pourtant invisibles ce qui fait référence à l'incapacité des sujets, à la fois acteurs et spectateurs, de percer le stratagème de Doflamingo.

     

    Dans la première illustration on peut relever l'emphase sur le mouvement des mains de Doflamingo en plus du contraste entre l'ombre en noir et le paysage de Dressrosa.

    Ceci file la métaphore du marionnettiste qui pourrait être comprise au sens figuré, puisque Doflamingo est celui qui tire les ficelles du nouveau monde grâce à son circuit de vente de SMILES et d'armes. On remarque une poétique du non-dit dans le style d'Oda qui travaille l'expressivité du moyen visuel.

     

    1. La couleur locale et les personnages

    Tout d'abord, on pourrait nous arrêter sur le cadre spatial. La scène n'est pas sans rappeler l'univers du théâtre puisque la ville de Dressrosa s'inspire de la Grèce antique pour le Colisée. La couleur locale y est également, les soldats sont habillés comme des gladiateurs, nous plongeant ainsi dans l'univers antique, proche de la tragédie.

    La tragédie doit également mettre sur scène des personnages haut placés ; c'est à dire des dieux et des héros. Cette condition est également remplie puisqu'il s'agit du roi. Doflamingo quant-à lui se compare souvent à un dieu dû à son statut de dragon céleste déchu.

     

    2. La métaphore théâtrale

     

    La métaphore d'une danse dans laquelle Doflamingo est le chef d'orchestre ainsi que celle d'un spectacle est filée à la suite lorsqu'il annonce l'entrée des soldats du roi dont il prend le contrôle en les poussant à s’entre tuer. La scène est digne d'une tragédie et le stratagème mis en place est infaillible. Toutes les conditions d'une tragédie sont remplies ;

     

    Doflamingo représente le metteur en scène/le scénariste.

    Les soldats et le peuple sont à la fois spectateurs et victimes .

     

     

    1. Un spectacle ironique :

       

    1. Une logique spectaculaire :

    Nous repérons au champs sémantique du spectacle . La scène est déjà présentée par les sujets-eux même comme étant « un spectacle ». Nous avons la mention d'une « grand entrance » (illustration 4) / de la nuit qui commence (illustration 3). Tous ces détails renforcent l'illusion théâtrale parfaitement représentée par le jeu de lumière, surtout avec la représentation de Doflamingo en mode négatif en noir ce qui fait référence à sa présence dans les coulisses.

     

    Doflamingo se réfère à lui même en tant que « hero » qui est un terme emprunté à la tragédie où le personnage principal est un héros, ironie encore, puisque la signification du héros en tragédie est problématique (il n'est pas nécessairement bon ou mauvais, souvent à la fois coupable et victime...)

     

    Micro lecture de l'arc de Dressrosa

    On note l'entrée en scène spectaculaire de Doflamingo, escorté par Pica et Trébol. Il se présente d'une manière grandiloquente. Son costume même fait référence d'une manière assez parodique aux costumes des drames romantiques.

    L'onomastique du nom du personnage qui a une connotation espagnole pourrait être un clin d'oeil aux drames romantiques qui prennent souvent un sujet historique et qui se déroulent en Espagne. (Même si dans ce cas on parle de tragédie stricto-sensus...)

     

    Micro lecture de l'arc de Dressrosa

     

    2. Ironie dramatique et ironie tragique

     

    • Ironie dramatique :

    L'ironie dramatique traverse tout le chapitre, je n'en ferai pas une étude exhaustive mais j'en retiendrai quelque exemples qui parlent d'eux-mêmes. Pour rappel, l'ironie dramatique est un procédé théâtral essentiel dans une tragédie. Il s'agit de l'écart de connaissance qu'il y a entre le spectateur et un personnage ou entre un personnage et un autre. C'est à dire le cas où le spectateur en sait plus que les personnages. Le lecteur dans ce ce cas sait tout du stratagème de Doflamingo, présent en coulisses, nous sommes ainsi dans un cas d'ironie dramatique double. En effet, Doflamingo occupe le rôle du metteur en scène et de l'acteur principal, puisqu'il manipule les sujets.

     

    • Ironie Tragique :

     

    L'ironie tragique est un procédés proche de l'ironie dramatique, tout deux reposants sur l'ignorance. Dans ce cas, le personnage prononce des paroles dont il ignore la vraie portée. Le lecteur/spectateur quant à lui parvient à comprendre l'étendue de ses paroles. Dans la seconde illustration « this is not a game or a joke » , ces paroles sont prononcées à l'égard du Roi Riku qui se prosterne pour demander de l'argent au peuple. Cette situation est très ironique puisqu'un garde lui répond qu'il ne s'agit pas d'une blague ou d'un jeu or il y a ici une double énonciation. Ah oui ? Encore un procédé théâtral. On parle d'une double énonciation lorsqu'un personnage prononce des paroles qui semblent s'adresser à la fois à un personnage mais aussi au spectateur/lecteur. Le lecteur qui en sait plus sur le personnage est capable de percevoir l'ironie des paroles du soldat. En effet, ce qui est nié est la réalité ; oui, il s'agit d'un jeu et d'une blague pour Doflamingo. Le personnage principale, le héros, dont l'alias n'est autre que « Joker » ou celui qui fait des blagues.

     

    1. La catastrophe : Le déploiement de la terreur et de la pitié :

       

    1. La terreur : La violence de la scène

     

    Inutile de rappeler que la fin d'une tragédie grecque est de provoquer les sentiments de la terreur et de la pitié pour arriver à la catharsis, c'est-à-dire à la purgation des passions du spectateur qui, ému par tant d'émotions, sera débarrasser de sa violence intérieure.

    Le massacre des soldats qui s'entretuent, du roi bienveillant qui se transforme en bourreau sous les yeux incompris des soldats est un exemple parfait d'une situation pathétique.

    La terreur est provoquée par la violence de la scène, nous pourrons ainsi nous appuyer sur quelques exemples que je ne développerai pas ;

     

     

    Micro lecture de l'arc de Dressrosa

     

    Micro lecture de l'arc de Dressrosa

    • illustration 1 : larmes / interjections / vocabulaire de la fatalité « is finishes » / représentation emphatique des expressions du visage

    • Illustration 4 : Nous sommes du côté d'une violence véhémente, décrite comme étant une folie « Stop it !!! stop this madness » On bascule du côté de l'inconcevable, d'une violence qui dépasse l'entendement.

    • Illustration 5 : Elle illustre parfaitement le côté « inconcevable ». Le roi est entrain de tuer son sujet qui l'encourageait juste une case auparavant. Ce contraste entre les deux attitudes différentes porte la violence et la terreur à leur paroxysme.

    • On note également la violence générale de la scène : sang

     

    2. La pitié :

     

    Micro lecture de l'arc de Dressrosa

    Le lecteur qui lui en sait plus que les personnages est porté à ressentir de l'empathie et de la pitié pour eux. Les personnages, notamment le roi Riku, ont un énorme potentiel pathétique à la fois lié à la situation tragique qui le pousse à effectuer des actes violents malgré lui mais également à sa représentation larmoyante.

     

    Amplification de l'absence de volonté des personnages. Il s'agit d'un lieu commun en tragédie : les personnages sont les victimes du sort...Ils sont dénués de volonté et ainsi, ils acquièrent un potentiel pathétique important. L'emploi de la formule « my body is moving on its own » qu'on pourrait traduire par « mon corps bouge de lui-même » fait du corps du personnage à la fois le sujet et l'objet par la locution pronominale « lui-même ». Le pronom même met en relief la mêmeté ce qui marque fortement et amplifie le manque de contrôle du personnage qui devient le jeu du sort.

     

    • Antithèse « right » / « wrong » qui montre l'absurdité et de la violence subie ; absurdité double due à l'ironie dramatique puisque le Roi Riku est doublement victime ; manipulé par Doflamingo mais également victime de l'ignorance de son peuple.

    • La modalité interrogative renforce l'incompréhensio

    1. Bravo l'artiste !

      1. Doflamingo, le ressort du tragique :

     

    Micro lecture de l'arc de Dressrosa

     

    • Cruauté de l'ironie :

     

    Appréciation de l'ironie des propos de Doflamingo. Il est présenté comme un personnage fort sarcastique ce qui fait son charisme de vilain. Il a souvent une approche assez moqueuse et dégradante des autres puisqu'il se réjouit de leurs malheurs. Dans cette case, Doflamingo en parfait marionnettiste orchestre la tragédie du peuple de Dressrosa en poussant le roi Riku à tuer ses sujets. Il s'agit d'une mise en scène de laquelle il se délecte, en retrait, en abordant une attitude sarcastique.

    L'ironie est perceptible à travers l'interjection « Mon dieu » / le rire emblématique de Doflamingo ainsi que son sourire habituel en croissant de lune.

     

    • L'antiphrase : Doflamingo semble être le roi de l'antiphrase (procédé lorsqu'un personnage dit le contraire de ce qu'il pense) « what a horrid king » « I've came to save this kingdom » etc...Cette ironie est d'autant plus cruelle en prenant en compte l'expression du personnage ainsi que son amusement face à la cruauté. Ce contraste est choquant pour le lecteur d'où la représentation d'une cruauté absolue.

       

      2. Coupable ou victime ?

     

    La notion de culpabilité est assez visqueuse et ambiguë dans l'arc en entier...En effet, les personnages semblent être les victimes du stratagème infaillible de Doflamingo. Or, ceci nous pousse à nous demander ; qui est le vrai héros tragique ? Le héros tragique est par définition celui qui est à la foi coupable et victime. Cette définition pourrait très bien coller à Doflamingo, surtout en relation avec son passé tragique (je ne vais pas trop m'évader puisqu'ici je ne traite que de ces chapitres en particulier...mais je pourrais peut être y consacrer une autre micro lecture?). Héros détestable, antagoniste, protagoriste ? La position de Doflamingo est assez délicate, il est représenté d'une manière manichéenne comme le vilain absolu dans ce chapitre, orchestrant le malheur du peuple, portant le lecteur à le détester...Or, ce chapitre qui se présente comme une tragédie en trois actes n'est en fait que le prologue...Une prolepse sur le passé de Doflamingo fera guise d'une énième péripétie et nous poussera à voir le personnage d'un œil nouveau. Ce passé ne fera que renforcer le tragique du personnage. Le dramaturge cruel serait-il en fait lui aussi...coupable et victime ?


  • Commentaires

    1
    Mercredi 20 Janvier 2021 à 17:05

    Je ne sais pas si c'est parce que je suis sur Opéra, mais les illustrations/photos(?) que tu as mises ne chargent pas/ne fonctionne pas donc je ne peux pas les voir. :/  (même en les ouvrant dans un autre onglet)

      • Mercredi 20 Janvier 2021 à 17:07

        Ohhh...dommage, je vais recommencer, merci de me l'avoir dit ! c'est une micro lecture sur l'arc de dressrosa dans one piece ^^ 

    2
    Mercredi 20 Janvier 2021 à 17:14

    Normalement c'est réglé =)

     

    3
    Mercredi 20 Janvier 2021 à 17:15

    Ah, ok! :D Je les vois maintenant du coup, merci! (c'est marrant que tu mentionnes one piece d'ailleurs. x)

      • Mercredi 20 Janvier 2021 à 17:18

        Ah oui ? tu regardes cet anime ? ^^ J'ai commencé l'année dernière et mine de rien je suis obsédée maintenant, je pensais pas que ça vait autant de profondeur...!

    4
    Mercredi 20 Janvier 2021 à 17:23

    Je l'ai entamé ado, et je m'étais arrêté a l'époque quand les épisodes sortaient tout juste. Je me suis lassé à ce moment là (dommage j'étais sur la fin de l'arc de la prison) parce que ça me saoulai d'avoir 12 minutes de "dans l'épisode précédent" pour juste 5 minutes d'action, et encore, a rallonge façon vieux shonen comme les dbz dans le temps. @-à C'était insupportable d'attendre une à deux semaines pour ça, sachant qu'en plus la seule fansub potable était pas ouf... (après ça fait 10 ans, faudrait que je m'y remette depuis le début. :')

    Et oui! C'est ce qui m'a plu aussi dans cet anime! Déjà le character design original et cartoonesque (je suis fan de cartoon alors contrairement à beaucoup de grincheux j'ai pas eut de soucis avec l'esthétique, dès le départ j'ai accroché au visuel), mais ensuite parce qu'il n'était pas qu'un shonen random "fabriqué" (pas encore) juste pour le plaisir de faire des tunes grâce aux fans. :') Il y avait vraiment des sujets sympas qui même si je ne les comprenaient pas forcément beaucoup à l'époque, me parlais vraiment. o/

      • Mercredi 20 Janvier 2021 à 17:29

        tu devrais prendre la peine de le regarder ^^ parce que franchement l'arc d'impel down puis marineford sont ceux qui m'ont plus le plus !!! Et puis pour les récapitulatif...Perso je les passe XD Je regarde avec mon copain qui est un grand fan de one piece donc je ne regarde pas les fillers :p Moi c'est ton contraire, j'avais beaucoup de jugement par rapport à One piece avant, mais maintenant j'adore ! Puis tous les beaux mecs...On va pas se cacher que..euh..je craque :) ça m'aide bcp en ce moment avec ma mauvaise humeur puisque ça me permet de retrouver mon âme d'enfant ^^ 

        si un jour ça te tente tu devrais le reprendre, ça en vaut la peine ! en plus oui derrière ses aspects un peu "enfantins" et parfois comique ça aborde des thèmes sérieux d'une manière très touchante...

    5
    Mercredi 20 Janvier 2021 à 17:53

    Ué, toi tu peux! xD Moi a l'époque j'avais les vieux lecteurs pourris. Au moindre changement de lecture ça se mettais à ramer comme pas possible, et mater un épisode avec un arrêt toutes les 1m30 c'est lourd. Si tu passes de bons moments dessus c'est super! Mais je t'avoue être vraiment surprit, je t'imaginais pas t'y mettre un jour. :o

    Je compte le faire. Pareil avec un de mes premiers animes d'enfance, Inuyasha. Mais faudrait que je reprenne depuis le début et... entre une seule série de 600+ épisodes et 15 animes de 24 épisodes bien rythmé... y'a pas photo pour le moment. :/ (je pense notamment à Cowboy Bebop que j'aurai pu rater si je m'étais attardé sur un autre anime à rallonge à l'époque, par exemple. ça aurait été vraiment dommage parce que cet anime est fabuleux et BEAU samèr. :p)

      • Mercredi 20 Janvier 2021 à 19:46

        Ohhh...! je devrais mater alors ^^ Personnellement, j'aime bien OP car je me dis que j'en aurai jamais assez de ces personnages que j'adore, et puis je suis une fille un peu orientée fandoms...Enfin...Tumblr quoi mdr...Alors ça me fait plaisir de m'extasier devant les beaux garçons *chuchote* je te cacherai pas que je mate parfois les animes pour les persos badass MDR 

        bon ensuite voilà, chacun ses priorités, ahh je pensais aussi voir cowboy bebop ^^ on me l'a conseillé !

    6
    Mercredi 20 Janvier 2021 à 19:56

    xD Oh, j'aime bien one piece, mais c'est justement ce qui fait que je me démotive facilement en pensant aux bêtes erreurs qui sont faites maintenant. (notamment l'idée de prolonger un épisode au max pour en produire toujours plus, faire attendre et vendre le plus possible)
    Quand j'étais ado ça ne m'embêtais pas les animes a rallonge, au contraire ça m'arrangeai. Mais en grandissant... bah, j'ai trouvé plus construit, avec des personnages moins clichés (franchement faire de Robin et Nami présentes plus pour le quota fille à boobs c'est triste) donc... En tout cas, si tu y trouve ton compte et que ça te plait vraiment, fonce et matte la suite! :p
    Et si tu veux des BG lance toi sur Bungou Stray Dogs, ou tout plus simplement... des novel, des otome, etc... y'en a à la pelle! ;)

    Le conseil est valable. 8) Franchement j'ai pas encore vu le film mais l'animé est déjà top et peu suffire!

      • Mercredi 20 Janvier 2021 à 20:01

        Alors là malheureusement je te contredis :/ One piece est loin d'être cliché. C'est vrai que les personnages féminins sont souvent sexualisés et Oda lui même a dit qu'il a du mal à dessiner les filles (et puis qu'on se l'avoue il est un peu bizarre le type) par contre je ne pense pas que Nami ou Robin soient là rien que pour le fan service...Elles sont extrêmement originales comparés à des personnages d'anime lambda. Elles ont leur propre personnalité à chacune en plus d'avoir des arc consacrés à elles (Arlong Park pour Nami et Enies Lobby pour Robin). Il y a un vrai développement dans leurs pouvoirs aussi. 

         

        Sinon si tu n'aimes pas l'anime il y a toujours l'option de lire le manga. 

        J'ai essayé Bangou stray dogs, pas accroché malheureusement..Peut être que je poursuivrai un jour...Je n'aime pas trop les beaux gosses sans personnalité et sans histoire T.T Malheureusement c'est le cas la plupart du temps :c

    7
    Mercredi 20 Janvier 2021 à 20:21

    Je n'ai pas avancé qu'elles étaient là uniquement pour ça, mais au début par exemple, Nami faisait un peu garçon manquée, c'est ce qui était plaisant! Et Robin était présenté comme une jolie fille féminine qui jouait justement là dessus. Ce n'était pas nécessaire de faire gonfler les loches à l'excès et d'en faire des personnages d'arrière plan pour un quota. :/ (en tout cas de mémoire, je peux dire qu'elles jouaient un rôle bien plus important aux débuts, et le fait de se concentrer sur leur passé, leurs difficultés, en rajoutait. c'était top)
    Possible que je chipote après avoir vu plusieurs centaines d'animes mais... si? Enfin en tout cas j'ai l'impression qu'elles se sont plus "randomisé" par la suite surtout par rapport (encore) aux débuts. @-à
    Après, le Arlong Park j'en ai vu que deux extrais je crois, donc je peux pas trop dire. :/

    Ah mais j'adore l'anime. xD C'est pour ça que je crache sur ce qui me gène, et que je me démotive a cause du fait qu'il soit BEAUCOUP trop long! Mais oui, ça aurait pu être une option aussi, de trouver les scans. :o

    Oh? A cause de quoi tu n'as pas réussi à suivre? (perso j'ai décroché à cause des fangirls qui m'ont cassé les master boules)
    Dans Bungou malheureusement oui, les défauts sont que l'histoire commence trop tard, et les personnages sont effectivement à peine développés (a part Dazai dans la saison 2, mais... là encore ça fait trop tard). :/ 

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